Nutrition sportive : Comment bien ajuster son petit-déjeuner ?

On sait tous que la meilleure manière d’être en excellente condition physique et psychologique est de faire du sport. L’hydratation et l’alimentation sont la base d’une performance réussie. Le corps fournit un travail intense face aux grandes dépenses d’énergie durant les activités sportives. Par conséquent, il doit recevoir tous les nutriments fondamentaux afin de récupérer correctement.

Les objectifs d’un petit-déjeuner sportif

Le petit-déjeuner constitue le repas le plus important de la journée. Pourtant, il arrive souvent que l’on rate cette partie de la journée que ce soit par manque de temps ou d’appétit. En sautant le petit-déjeuner, votre taux de glycémie va être déréglé. Cela augmentera les risques de fringales dans la matinée. Prendre son petit déjeuner correctement est donc primordial car c’est ce qui va approvisionner le corps pour une journée sportive ou professionnelle efficace et fructueuse.
Les nutritionnistes déclarent que le petit-déjeuner constitue l’une des principales sources de éléments nutritionnels et caloriques quotidienne. Il répond à de nombreux objectifs et présente toutes sortes d’avantages. A cet effet, il équilibre les privations en nutriments et en eau durant les 10 heures de jeûne de la nuit. Il fournit également la vitalité essentielle à la poursuite de l’activité et couvre les besoins énergétiques. Ainsi, l’organisme sera convenablement approvisionné afin de pouvoir tenir jusqu’au déjeuner sans problème.
Le petit-déjeuner doit être complet, équilibré, digeste et ingurgité tôt. Il est notamment conseillé de le prendre 3 heures avant le début de votre activité sportive. Dans le cas contraire, le rendement musculaire va baisser, causant un sentiment de fatigue.

Les régimes à favoriser pour un petit-déjeuner sportif

Les légumes et fruits comme les fèves, les lentilles et les haricots sont principalement à privilégier car ils contiennent des fibres. Cette source naturelle végétale permet d’éviter les troubles intestinaux et de digérer facilement. Ces aliments ne secrètent que très peu d’index d’insuline et de glycémie, et favorisent la concentration, ainsi que les exploits physiques.
Le magnésium est le minéral qui offre le plus d’énergie à l’organisme. Il est important de noter qu’une carence en magnésium provoque une fatigue instantanée, ainsi que des vomissements. Les céréales, les noix et le chocolat sont des nourritures ultra riches en magnésium. Il faut les incorporer correctement, en respectant la dose.
Les féculents sont activement recommandés pour la pratique du sport, grâce à leurs apports en glucide, en amidon, mais aussi en protéines (animales et végétales) et en fibres. Ces principaux apports constituent des carburants nécessaires pour l’organisme. Les produits amylacés, tel le riz, le quinoa et le millet permettent de garantir les besoins énergétiques.
Il ne faut jamais oublier que l’eau est le constituant le plus inestimable pour le bon fonctionnement du corps. Les pertes d’eau s’effectuent à travers la transpiration durant un effort physique. Les besoins en eau dépassent largement les besoins journaliers. Et un sportif doit s’hydrater avant, pendant et après un effort physique.

La nutrition idéale pour la récupération

Il est viral de récupérer l’énergie dépensée durant l’effort sportif par une nutrition saine, complète et équilibrée particulièrement dédiée à l’étape de récupération. Trop fatigue pourrait entraîner l’hypoglycémie. Ainsi, les diététiciens nous conseillent de consommer des poissons gras comme le saumon et le thon. Ces aliments sont riches en glucides, contenant des omégas 3.
Vous pouvez également mélanger de l’avoine avec une demi-banane. La composition glucides lents et l’amidon favorise une digestion lente, sans hausse de glycémie.
Après l’effort physique, il est important de s’hydrater avec de l’eau un tantinet salée. Un léger apport en sodium à l’organisme encourage la récupération.
L’eau gazeuse est catégoriquement à éviter pour une activité sportive, au risque de provoquer des troubles alimentaires, tout comme les aliments gras, la charcuterie et les produits laitiers.

 

Illustrations : futura-sciences.com ; Funkyfrugivore.blogspot.com

Partagez cet article sur :